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Les journées folles d'une fille ordinaire
Les journées folles d'une fille ordinaire
Les journées folles d'une fille ordinaire
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1 janvier 2011

Le supplice n'est pas terminé.

Le réveillon est passé. Et ce n'était pas si désagréable. Le lendemain est plus rude. Bouche sèche, estomac malmené et fatigue. Pourtant je m'enfile deux belles tranches de foie gras le midi et une belle religieuse au chocolat en guise de dessert. Mon jean noir me boudine. Plus slim tu meurs. Mais j'aime ma silhouette qui s'est épaissie depuis quelques mois, depuis mon été en Grande-Bretagne. Mon corps longiligne a retrouvé ses formes de la puberté que j'avais perdu depuis deux ans. Mes fesses sont à nouveau rebondies, mes hanches plus marquées. J'ai gardé mes petits poignets et mes jambes fines, imposés par ma morphologie.

Revenons à nos moutons.

Je n'ai pas échappé à l'avalanche de SMS de meilleurs vœux. Passer sa soirée à écrire des textos, très peu pour moi. Je m'y suis mise cette après-midi puisque je n'avais rien de mieux à faire. Et par respect de la tradition. Et des messages personnalisés s'il vous plait. Pas de « bonne année » envoyé à ma liste intégrale de contacts. J'ai beau renier le nouvel an, je m'applique à souhaiter les vœux aux gens que j'aime. Leur montrer que je pense à eux sans pour autant déblatérer le bla-bla habituel « joie, bonheur et paix ». J'ai même pris la peine d'écrire quelques cartes et de les envoyer par la poste pendant que mes parents cherchent encore la plus drôle des cartes virtuelles. Ils doivent se rendre à l'évidence, ils ne feront pas mieux que l'année dernière : une carte animée exhibant des corps souples et harmonieux, se tortillant sur une piste de danse, ambiance disco en fond sonore. Leur tête a été rajoutée aux corps, l'illusion est parfaite et comique. Très réussi je dois l'admettre.


Demain, passage obligé chez les grand-parents pour leur déclamer nos vœux.


Et lundi... toujours les vacances. Encore une semaine. Je me devais de le préciser publiquement. C'est tellement bon.


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